Octobre 2012.

Publié le par clarac

 

Octobre s’achève, un mois laborieux et difficile dans tous les compartiments. Les vacances ne seront pas du luxe, surtout qu’elles aussi seront laborieuses…

Côté NOUVELLES :

À ce jour (et à cette heure) ; 5 textes en lectures, le double de tout 2011… des reprises, des adaptations pour l’essentiel. Si la sphère éditoriale n’était pas aussi envahissante il y en aurait 3 de plus ; mais je ne me plains pas.

Pour ce dernier trimestre 2012 et toute l’année 2013, outre la poursuite du recyclage des anciens textes en fonction des circonstances (appel à textes et concours) je reste sur ma politique d’une seule création de nouvelle par mois. Même s’il n’est pas encore temps de tirer le bilan pour 2012, le fait est que je suis loin du compte avec seulement 4 créations au lieu des 10 qui devraient exister à cette heure. Ce qui n’est pas plus mal en fin de compte.

Toutefois je vais altérer cette stratégie consacrée à la nouvelle avec l’adjonction d’une contrainte supplémentaire. Qui sera désormais d’aborder ces créations autour d’une axiologie, d’une thématique, et d’un environnement prédéfini. Ce qui va limiter les opportunités. Ainsi l’objectif avoué est de profiter des thématiques (quand elles seront compatibles) des Appels à textes et des Concours pour construire sur un ou deux ans un recueil à ma manière : de nouvelles liées, tressées, tissées autour d’une trame romanesque cette fois prédéfini (contrairement à la nuit du serpentaire dont les liens, le tressage et le tissage est un travail (aval) et non pas (amont) comme je me le propose désormais. Cela donnera ce que ça pourra, même si ce vrai/faux recueil est déjà bien structuré… sans que cela soit un véritable souci, mais un peu quand même, deux textes de ce futur recueil ont des échéances pour le 30 octobre. Si l’un d’eux est bien avancé, l’autre en est encore au synopsis/structuré/scénarisé. L’idée n’est pas de contribuer systématiquement à chaque Appel à textes, bien que cela serait pas mal… cette fois c’est râpé, ce qui n’empêchera pas les textes d’être écris après échéance puisqu’ils sont déjà programmés pour le recueil. Peut-être parviendrais-je à rédiger et en plus les proposer pour les autres échéances ? Même si cela reste secondaire ; bien que j’avoue que ces dates butoirs me donnent un calendrier bien utile.

Le seul souci de ce premier travail est qu’il s’appuie sur un texte déjà publié sous mon nom ; donc que je devrais publier l’éventuel futur recueil avec. Cela m’empêchera-t-il de proposer les textes sous pseudonyme ? Vu la foule de mes lecteurs je ne pense pas courir le risque de griller un de mes pseudos en contribuant avec ; la probabilité que le personnage récurent, son univers, soit reconnu est sensiblement voisin de l’impossible. Pour l’instant, à l’avenir on verra, sait-on jamais, peut-être que deux ou trois textes seront lisibles dans des anthologies. Alors il sera difficile de poursuivre cette démarche. La parade existe déjà ; je les écrirai donc sans les soumettre à contribution et je transmettrai donc des créations en lien avec un autre projet du même type inconnu du public. Parce que, je peux l’avouer, deux ou trois autres projets de ce goût sont dans le tiroir. Comme à chaque jour suffit sa peine, chacun son tour…

D’autant plus que je dois déjà, comme pour la nuit du serpentaire, finir le tressage/tissage d’un second vrai/faux recueil avec une trame historique cette fois. Sans oublier les projets de roman sur le feu.

C’est ainsi que je désire dorénavant aborder la Nouvelle, bien que, je sache déjà que de temps en temps, les opportunités, les aléas ou encore l’inspiration provoqueront quelques sorties de route.

Côté Roman :

Ce volet pâti aussi de la place prise par la sphère éditoriale, les titres en rédactions, adaptations/arrangements traînent donc un peu. Or dans ce compartiment il n’y a aucune urgence. Deux titres sont achevés et refroidissent avec lenteur et patience, encore un peu trop tiède pour leur consacrer une lecture apaisée libérée de l’affect pour passer à l’étape suivante.

Vigo, dont j’ai oublié ce mois-ci de mettre en ligne l’épisode/chapitre 11 devrait (dès que je serais libéré des obligations éditoriale) passer dans le classeur (lissage/adaptation/arrangement) de mon bureau. La difficulté de m’être un peu astreins à soumettre ce texte au fur et à mesure sur le bog fait qu’une fois achevé, et malgré une structuration sévère et une scénaristique cristallisée, hé bien je reste un bonhomme et parfois j’ai un peu transgressé le programme. Donc, maintenant, je dois remettre de l’ordre, de la cohérence et par endroit un peu de pertinence (voire d’impertinence). Vigo ayant été livré sur ce blog à mon nom, pas de surprise c’est donc sous mon nom que je le signerai s’il devait sortir. En revanche, il en sera autrement pour les deux autres que je viens d’évoquer.

Puisque rendu public (en partie) sur ce blog à mon nom, le roman/feuilleton que je prépare pour 2013, toujours au rythme (approximatif) d’un chapitre/épisode par mois devra donc être au final signé de mon nom. À fin de ne pas trop dévoiler mes pseudonymes je vais développer ce roman à partir d’un personnage et de son univers à partir d’une nouvelle ancienne et publique. (publiée) et ce sera de l’Urban Fantasy qui flirtera avec la SF puisqu’il sera question de Mars ! Voilà pour l’instant, je n’en dis pas plus.

Un court roman, que j’envisage depuis longtemps, devrait bientôt m’occuper.

Côté éditorial :

Le travail autour du COLLECTIF 01 des CHANTIERS IMAGINAIRES, Perles génésiaques, s’achève sur un bilan évocateur… mais prévisible et prévu. Ce qui ne changera rien, pour l’instant, à la stratégie adoptée en AG quant à la Section Édition de l’association dont Ivan assume désormais la responsabilité. C’est donc à lui que reviendra la programmation et le suivit (technique) des deux autres collectifs : Songe de Sélène & le Grimoire des licornes, et l’éventuel prochain appel à texte de 2014 (c’est programmé, enfin ; prévu, mais on n’y est pas encore). Pour ma part, j’attends son (feu vert) pour parachever ma tâche d’anthologiste sur ces deux titres. Ivan envisagerait de poursuivre (l’exploration des GRIMOIRES consacré la fantasy autour de son bestiaire fantastique comme les Licornes en attente, et peut-être aussi s’aventurer dans le POLAR/THRILLER…) mais d’abord il faut régler ce qui est toujours sur le feu.

Or ce qui m’accapare beaucoup c’est la sortie de STATION FICTION 2012 (mission n°5) qui arrive dans sa dernière ligne droite. Il y a ce que je veux faire, je que je voudrais faire puis ce que je peux faire et ce sont deux choses très différentes, hélas. Au final, il arrive un moment où tant pis il faut arrêter de calculer, de rechercher la solution-miracle pour concilier les paramètres inconciliables et faire ce qu’on peut avec ce qu’on a… si peu donc. Dommage, le potentiel de la revue se retrouve bridée par manque de moyen, mais il n’est pas possible de faire mieux, pour l’instant…

Le retour des (sondes) pour le Station Fiction 2013 sont assez encourageants, mais ce n’est pas encore la priorité.

 

Voilà pour Octobre 2012, rendez-vous en Novembre (un peu avant pour l’épisode 11 de Vigo, peut-être, si j’ai le temps de le mettre en ligne)

 

Sébastien CLARAC

Publié dans errances...

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