Mes Univers...

Publié le par clarac

Le secret de l’écriture !

Vous êtes en quêtes de la formule magique, la recette-miracle, de l’écriture ? Pensez-vous réellement que je vous livrerai le secret le mieux gardé de l’Univers si je le possédais ?

Un seul indice, selon moi et qui ne vaut donc pas grand-chose : « C’est quand vous êtes convaincu de le détenir que vous pouvez être certain de ne pas l’avoir ! »

 

Mes Univers :

Mes, parce qu’un seul, à force serait trop ennuyeux.

 

En SF :

L’univers space opéra, (et pas que), sur lequel je suis depuis 25 ans. Si peu à la mode de nos jours que je doute un jour d’en publier quelque chose. Mais comme j’écris avant tout pour moi ; facile à reconnaître pour ceux qui sont initiés (quelques rares individus), avec l’échiquier hexagonal, entre autres, mais je suis assez sournois pour distiller des textes liés). Les textes de cet Univers, en leur retirant les indices de « signature », donc l’échiquier hexagonal n’apparaît pas nécessairement, ni le Joueur, ni le reste d’ailleurs. Mais quand même, si, je suis comme ça, il y a toujours une empreinte perceptible à l'unique initié.

Sa complexité est difficile à rendre compte, après 25 ans de conception et autant, j’espère, à venir ; il s’étends sur plus de 50 000 ans. Plus conçu pour satisfaire mes extrapolations ethnologiques et anthropologiques, le S de SF ici est très « Social », un gros laboratoire mental et imaginaire pour évaluer, confronter en virtuel les possibles de l’Homme confronté à la nécessité de survivre dans un univers où on sait que la Terre est en soit une exception, alors ailleurs….

 

.           Eitô, Science Fiction dans anthologie Arcane, ed Voyel, 2010.

 

.           L’œil de Skadi, Science Fiction, Géante Rouge n°19, 2011,

.           Vieille Branche, Science Fiction, Blog chroniques stellaires,2012

http://chroniques-stellaires.blogspot.fr/2012/08/vieille-branche-de-sebastien-clarac.html

 

14/02/2012

.           Dans cet univers, et à ce jour… voyons, heu… 7 trilogies de programmées ! 7 ou 9 ? Non 9 ! Pus quelques « apocryphes ». Si j’envisage de signer les trilogies et une partie des apocryphes de mon nom, ce ne sera pas le cas de tous, tout ceci est planifié.

.           Cela dit, vu que je suis bien placé pour savoir que je n’en verrais jamais le bout ; chaque « tome » de chaque trilogie est complètement autonome.

 

.      le roman par épisodes sur ce blog, Vigo Dunhill, l’affaire des transhumains, Sf polar… fait entièrement partie de cet univers SF, un apocryphe hors trilogie/triptyque, que je vous livre tous les quinze jours.

.      Sommaire :   http://clarac.over-blog.com/article-vigo-2011-editorial-et-sommaire-71898443.html

 

 

Le souci général avec cet univers, comme le suivant en fantasy, est que je n’aime pas le manichéisme. Ce qui rend tout ceci impubliable. C’est une évidence, j’en suis conscient, et je m’en moque.

 

En Fantasy :

Là aussi un univers très vieux, presque 20 ans, un univers doté de 7 héros leaders/pilotes. Comme toujours avec moi, avec mon satané esprit de contradiction ; conçu contre les codes du genre. A priori, il est assez peu probable qu’un jour j’en publie un roman, bien que deux nouvelles aient déjà été publiées… Une avec Ragus (l’un des 7), l’autre avec Sarnac (qui n’est en fait que le compagnon d’un autre des 7)…

 

14/02/2012

 

.           Dans cet univers c’est plus compliqué ; en fait j’ai 3 série de 9 tomes. Une que je signerai de mon nom ; et du coup, les deux autres, non.

 

 

Fantasy Jeunesse : (19/04/2011)

.      C’est presque nouveau… Puisque ma fille vient de lire le premier jet du premier tome et de me donner son : « alors la suite c’est quand ? »… Vu la lectrice impitoyable qu’elle est qui sait dire quand elle n’aime pas, j’apprécie l’avis. Je vais donc le fignoler, le corriger, tenter du faire publier ce premier tome et essayer d’écrire les 8 autres.

.      Je sais pertinemment que les éditeurs français n’aiment pas le suites ; il n’empêchent que les jeunes eux adorent ça ! Faudra un jour que le éditeurs se mettent au diapason de leurs public…

 

 

En fantastique : Difficile de parler d’Univers, du moins cohérent et construit, puisque le surnaturel et l’irrationnel est un phénomène transversal, trans-genre, de mon écriture.

 

.      19/04/2011.

.      Petit changement dans cet « environnement » ; en fait j’ai « un » univers avec un héros qui commence à s’imposer. Ce dernier s’obstine à s’incruster chaque fois que je tente d’écrire une nouvelle « fantastique ». Donc, même si pour l’essentiel ma création dans ce genre est « libre » désormais il existe une créature envahissante…

 

 

Et comme il serait ridicule de parler d’univers dans les autres genres, historique en particulier…

 

De façon générale, je profite toujours, tant des thématiques des appels à textes que de ceux des concours littéraires, pour enrichir mes univers. Ce qui vient grossir en synopsis les dossiers consacrés à chacun avec une nouvelle rarement achevée et encore plus rarissime : envoyée. Ce qui explique ma faible participation aux appels à textes, (car je sais que toute manière ça ne les intéressent pas) et de fait, quand cela se produit, parce que ces textes sont, avant tout, des épisodes d’un univers précis, ils sont souvent écartés car hors sujet ou à l’évidence leur état d’embryon de roman en fait beaucoup de chose, sauf une nouvelle.

J’admets, et je revendique, écrire d’abord pour moi, je suis un égoïste qui s’assume.

Le plus difficile, en fait pour moi, n’est pas d’écrire une nouvelle, mais bel et bien de la maquiller pour masquer ses liens avec autres choses, et dissimuler sa grossesse ou son ambition à prétendre grandir en roman : une tendance de plus en plus marquée ces derniers temps qui entrave ma production de nouvelles.

 

En résume, ses Univers sont condamnés à rester dans ma tête, tant pis, ou tant mieux, peu importe.

Va me falloir trouver autre chose et je pense de plus en plus au polar. Là, je n’ai aucun univers, ma pensée n’est donc pas conditionnées et le manichéisme n’y est pas un code imposé, je pense même que ma approche plus machiavélique, en fait, s’y épanouirait mieux.

Je vais essayer, bientôt, et on en reparle.

 

Sébastien CLARAC

 

Publié dans Bio-bibliographie

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